Etudes sans suite, comme réalisations effectuées.
Contrairement à ce que l’on peut penser, assurer la maîtrise d’oeuvre pour des projets d’appartement est complexe et demande beaucoup de disponibilité. A la fois à l’égard de clients particuliers très exigeants en matière de choix et de coûts. Les goûts personnels y sont pour beaucoup aussi.
Une paroi escamotable en polycarbonate alvéolaire sépare une zone nuit du séjour, selon le souci du Maître de l’Ouvrage de preserver l’intimité du couple co-locataire. L’agencement en menuiserie offrait d’autres moyens pour le former, en l’équipant de rangements sur mesure. (Photo Antonio MARTINELLI)

Deux-pièces de 27m2, Paris, 2016
Ici, en éliminant les recoins inexploitables, et faisant en sorte que des ventaux escamotables engage ou sépare du couloir, au besoin, j’ai gagné 2m2 pour le Maître de l’Ouvrage, escomptant ainsi du coût plus élevé qu’anticipé des travaux.
Isolation thermique, électricité, équipements & revêtements neufs assurent désormais in confort accru.

Studio de 31m2, Paris, 2003
Deux pièces avaient déjà été réunies pour en créer une grande, désormais destinée à recevoir une bibliothèque bien fournie. La provision d’un couchage discret a été résolue par une mezzanine, dont emprise sur couloir et sanitaires permet 2 places, à part ou ensemble. Cloisons en polycarbonate alvéolaire pour maximaliser la pénétration du jour naturel.

Trois-pièces, Paris, 2002
The client, a Melbourne developer, had been referred to me by Peter DAVIDSON, of Australia’s LAB Architecture, with a recommendation to take good care of him. Basically I was asked how one might make a second bedroom, ostensibly for the mother-in-law, but also for rental attraction. This solution never made it to the client’s hands. Fate.

Atelier d’architecte, 54m2, Nice, 1997
Transformé en plusieurs phases, le parti conceptuel est de faire disparaître tout aspect domestique ou résidentiel, et de privilégier l’exploitation des pièces de vie en lieux de travail.
Une mezzanine de couchage, accessible du couloir est ainsi dissimulé derrière la bibliothèque. En-dessous, sa structure auto-portante abrite des rayons de rangement de dossiers.
Une chambre à l’arrière, pouvant servir de salle de conférence à point d’eau est devenue la cuisine & salle à manger en mode habitation. De même, l’ancienne cuisine, transformée en studio pour les collaborateurs de passage, sert de dressing.

Six-pièces, 135m2, Paris, 1991
Dans cet appartement, qui se développe en L côté cour, il est possible de voir la cuisine de la salle de bains, moyennant un jeu de baies et de miroirs. La cliente étant de petite taille, ses enfants aussi, j’ai fait incliner le miroir de la salle de bains pour une meilleure jouissance de la beauté. (Photo Antonio MARTINELLI)

Duplex, 62m2, Paris, 1987
Dans une cour d’immeuble se trouve notre habitation principale, une maison par sa forme, un appartement de copropriété par son statut. Il a fallu reconstruire presque complètement le cloisonnement intérieur, malmené par des interventions bricolées.
Solution architecturale à l’écossaise, l’emploi de lambris dans la cage d’escalier (photo Antonio MARTINELLI) sert à la fois pour réunir et distinguer les deux étages, et gérer les dégradations occasionnées par des infiltrations occasionnelles qui passent au-travers du mur mitoyen.
Accès au rangements en cueilli est assuré par platelage prenant appui sur les rebords saillants.

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