
Erica BEVAN, collègue avec qui j’avais étroitement collaboré pendant 6 mois en 2003, pour Li.Ter Ltd à Londres, m’a contacté en 2007 suite à l’envoi d’une carte postale de Camogli. J’y avais joint mon numéro de téléphone à tout hasard. Peu convaincue de l’offre de prestation qu’avait soumis un maître d’oeuvre britannique (dont l’idée pour le réaménagement de la propriété était d’ailleurs parfaitement inadaptée) elle m’a proposé de m’y rendre et de leur soumettre une proposition.
Un premier relevé sommaire a été effectué en septembre 2007, et une première esquisse présenté à Londres quelques semaines plus tard. La demande ultérieure d’une longue piscine serait désormais à intégrer au projet.
Le client a ensuite demandé une estimation du coût total des travaux, nécessairement étalés par phase pour une question de trésorerie, soumise en novembre 2007.
Nonobstant l’importance de l’investissement (en particulier par rapport au coût d’achat du terrain) le client a été d’accord pour déposer une demande de permis de construire intégrant la plupart de mes de mes recommandations, laquelle été introduite courant février 2008 et notifiée cinq semaines plus tard.
Notons qu’à partir du 1er janvier 2008, tout projet d’habitation devait intégrer de nouvelles dispositions d’accessibilité, sans barrière architectonique, pour les personnes à mobilité réduite. Les vides sanitaires inaccessibles n’étant pas autorisés dans la région, plusieurs défis d’ordre technique étaient à relever.
A commencer par le problème de l’humidité ambiante (brume qui se condense, ce façon très visible, au-dessus du sol) et les courses d’eaux souterraines. J’ai donc été amené à proposer la création d’un puits canadien et un système de ventilation permanente à double flux avec récupération de chaleur, afin d’assainir l’air frais trop chargé en humidité quelque soit la saison.
Puits canadien, réseaux EP & SPANC, refends en terre crue stabilisée
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